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blog de musiques inactuelles

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Stockholm Monsters, les invisibles fondateurs...

Je crois que tout a commencé par un nom, et peut-être même par l’idée même d’un nom qui précède la musique, comme une ombre portée qui annonce déjà une atmosphère. Stockholm Monsters . Avant une seule note, avant l’idée d’un album introuvable, avant que je connaisse Factory Records autrement que par la mythologie qu’on lui prête aujourd’hui, avant même que je comprenne que Burnage n’était pas seulement un quartier du sud de Manchester mais aussi une matrice fragile d’où ont s

Silver Jews...

Jeune adulte, non loin de Vierzon, en Sologne, j’étais encore chez mes parents, dans ma chambre d’ado, cette pièce où se mêlaient posters, piles de livres, cassettes, vinyles et CDs éparpillés, souvenirs d’un monde que je croyais déjà connaître mais que je ne comprenais pas encore pleinement. Je ne m’en rendais pas compte à l’époque, mais cette chambre était déjà pleine d’histoire, de mémoire, de traces de mes découvertes, de mes émerveillements silencieux, et c’est avec cett

Les inaperçus de la New Wave (3) : Original Mirrors (reflets retrouvés)

Longtemps, Original Mirrors  n’a été pour moi qu’un éclat oublié, un nom entrevu dans la constellation Post-Punk/New Wave, puis remisé dans l’arrière-boutique brumeuse de ma mémoire musicale. Je les avais découverts au hasard, un jour, dans ces bacs à vinyles d’occasion qu’on feuillette comme on exhume des fragments de nous-mêmes. Le premier album, sobrement intitulé "Original Mirrors" (éponyme donc), m’avait parlé comme rarement un disque le fait dès la première écoute : une

The Prisoners : A Taste of Vierzon...

Il y a des groupes qui vous arrivent comme un contresens, un intrus dans la logique des choses, soudainement déposés du ciel dans un bac de disques d’occasion. The Prisoners est de ceux-là. Pas forcément le groupe que l’histoire a retenu, pas celui qui remplit les anthologies rock vendues chez la Fnac ou les pages glacées des encyclopédies musicales des années 90… Mais un groupe qu’on rencontre comme une révélation intime, un tranchant de guitare dandy, un orgue Hammond tout

Les années 90 ou la ferveur d’un monde en mouvement...

Il y a des décennies qui s’imposent à vous sans crier gare. Elles deviennent la matrice d’une existence, le miroir dans lequel vous continuez, des années plus tard, à contempler ce que vous étiez, ce que vous avez aimé, ce que vous avez cru comprendre du monde. Pour moi, ces années-là, ce furent les années 90 . Je ne dis pas qu’elles furent les plus belles objectivement — toute époque a ses fulgurances et ses ruines — mais elles furent celles de ma jeunesse, donc forcément, l

Les merveilleux seconds "couteaux" (4) : Blancmange

Je ne sais pas très bien pourquoi j’ai attendu si longtemps pour écouter Blancmange. Le nom, je le connaissais, bien sûr. Il flottait quelque part dans le brouillard des années 80, entre Soft Cell, Yazoo et les premiers Depeche Mode. C’était un nom de groupe qu’on croisait souvent en lisant les pages jaunies de la presse musicale, un peu énigmatique, vaguement exotique, et qui évoquait plus un dessert anglais qu’une aventure sonore. Mais la curiosité n’était jamais allée plus

Vivre la musique en Aveyron : chronique d’un désert obstiné...

Quand je suis arrivé en Aveyron en 1996 (en réalité bien avant, plutôt à l'adolescence car mes parents avaient une maison de vacances au dessus de St Geniez), j’ai eu très vite le sentiment d’entrer dans une zone blanche de la vie culturelle, en particulier sur le terrain qui me tenait le plus à cœur : la musique indépendante. Un territoire splendide, rugueux, sincère, mais d’une pauvreté désarmante dès qu’il s’agissait de concerts, de scènes, de lieux de vie musicale. C’étai

Chris Spedding, l’homme de l’ombre...

Je ne me souviens plus très bien comment j’ai découvert Chris Spedding . Le nom s’est imposé, un jour, sans que je sache par quelle...

Sad Lovers & Giants...

Il est des musiques qui nous parviennent à contretemps, comme si elles avaient patienté dans un repli du réel, attendant que le bruit...

La quête des disques oubliés...

Il y a, dans l’acte de fouiller des bacs, quelque chose qui tient du sacré. Pas un geste nostalgique, ni même un simple hobby. Plutôt une...

Le streaming, avis personnel...

Pour Virgile... Il est des révolutions silencieuses, des basculements imperceptibles, des effondrements sans fracas. Le streaming fait...

Où rien Neuvy...

Il y a des lieux qu’on porte en soi, non parce qu’ils ont été lumineux, mais parce qu’ils ont laissé une empreinte silencieuse,...

Modern English "Mesh & Lace" (4AD, 1981)

Il y a des disques qu’on découvre trop tard, et cette arrivée tardive ne les affaiblit pas — au contraire, elle les entoure d’un halo...

The Waterboys "s/t" (Chicken Jazz, 1983)

C’est une histoire qui commence entre les gouttes. Une histoire d’embruns et de chansons, de brumes écossaises et d’éclats d’âme. Avant...

Les inaperçus de la New Wave (1) : The Books

Il y a quelques temps j'avais lancé ici même, sur ce site, une rubrique intitulée "Seconds couteaux" de la New Wave. Enfin, je n'avais...

Dramarama "Cinéma vérité" (New Rose, 1985)

Il est curieux de constater que ce disque est quasiment absent du net français. Aucun papier, aucune chronique, aucun commentaire, rien....

Hood...

On passe souvent son temps à dire, à écrire, à clamer aux uns et aux autres ce que l’on aime, ce que l’on apprécie, ce qui nous touche....

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